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Blog des Innocents Injustement Accusés
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26 mai 2013

713 - Sébastien Malinge : Supplément d'enquête accepté par la justice

 

Justice4

En mars 2012,  Sébastien Malinge a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Michèle Martinez sur le parking des Italiens à l'entrée d'Avignon.

Sébastien Malinge a toujours crié son innocence. Mais il lui était difficile de se faire entendre dans la mesure où son ADN, retrouvée sur l'arme du crime, un tournevis, et sous les ongles de la victime, semblait avoir été l'argument irréfutable de l'accusation.

Après appel, le son second procès, attendu les 21, 24 et 25 juin à Nîmes, vient d’être reporté à la suite d’une demande de supplément d’information acceptée par la justice.

C'est donc la confirmation que le doute s'est installé au niveau de l'accusation !

Les révélations de Sébastien Malinge au moment du premier procès sur ses relations avec la fille de la victime n’avaient pas bousculé les convictions des jurés de première instance. Acculé par les traces d'ADN, relevées sur le corps de la victime, sous ses ongles, sur ses vêtements et sur le tournevis avec lequel elle avait été tuée le matin du 28 novembre 2010 au parking des Italiens d’Avignon, Sébastien Malinge n’a jamais cessé de nier les faits et a toujours affirmé qu’il ne connaissait pas cette grand-mère de 66 ans.

Il avait expliqué avoir entretenu une longue relation avec la fille de Michèle Martinez, s'être rendu de nombreuses fois au domicile de cette dernière avant que la mère ne vienne vivre chez sa fille. Et y avoir bricolé, notamment,  en utilisant un tournevis. Ses avocats Me Guenoun et Expert (désormais appuyés par Me Billet et Maître Mestre) s’en étaient emparés pour soumettre l’hypothèse d’un “transfert d’ADN” pouvant expliquer qu’on en ait retrouvé sur le corps de la victime et l’arme. Interrogé à la barre, dans un premier temps, l’expert en ADN s’était montré sceptique avant de répondre à l'affirmative à la question des avocats de la défense.

Le supplément d’information devrait permettre de lever ces doutes. La fille de la victime, invisible au procès et entendue à huis clos, avait confirmé une relation de quelques mois, maintenant un désaccord avec l’accusé sur les dates et la durée. Elle devrait être réentendue. Les avocats de la défense sollicitent aussi des expertises dans le fameux appartement.

 « L’enquête policière a été privée d’une partie de l’information qui est capitale » regrette Me Guenoun. Qui avait aussi, lors de sa plaidoirie, mentionné longuement les rencontres interlopes de la victime via des sites internet. « Elle menait une vie très dissolue » dit-il, pour poser la question d’autres pistes. Avant de conclure : « On va formuler une demande de remise en liberté pour Sébastien Malinge. » Car l’instruction est relancée pour de longs mois.

Le supplément d'enquête devra répondre à plusieurs questions posées par la défense de Sébastien Malinge:

- Pourquoi la fille de la victime n’a rien dit durant un an et demi de détention de Sébastien sur leur relation ? Pour quelle raison a-t-elle menti non seulement aux enquêteurs mais aussi durant le procès quand elle a avoué effectivement qu’ils avaient eu une relation de deux mois alors qu’il sera confirmé plus tard que ça a bien duré 2 ans ?

- Pourquoi sa fille l’aurait dirigé sur la “route de sa mort” alors que Michèle Martinez était habituée à prendre sa voiture pour se rendre au tabac d’un quartier voisin, tout en sachant que le tabac où elle la dirigeait était fermé ce jour-là ?

- Pourquoi n’aurait-il pas mis de gants pour manipuler le tournevis (et pourquoi le laisser sur le lieu du crime) puis ensuite oublier d'en mettre ou les enlever pour manipuler les rochers ? ( rochers qui ont également servi à tuer la victime, mais sur lesquels l’ADN de Sébastien Malinge n’a pas été retrouvée).

A consulter le blog des amis de Sébastien Malinge:  sebestinnocent.webnode.fr

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12 mai 2013

2913 - Joli mois de mai 2013

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Après la décision à venir du 15 mai 2013 de la commission de révision concernant Azzimani et El Jabri, nous apprenons que la même commission de révision des condamnations  pénales va statuer également le lundi 27 Mai sur l’admissibilité de la demande en révision de Christian Iacono.

Lire ci-dessous les articles consacrés à Christian Iacono.

Quel joli mois de mai 2013 pour les Innocents Injustement Accusés !

 

23 octobre 2012

708 - Complément d'enquête sur le meurtre de Richard Alessandri

Le 22 octobre 2012, la commission de révision a accepté l'ouverture d'un complément d'enquête sur le meurtre de Richard Alessandri en juillet 2010.

Rappelons que l'épouse de Richard, Edwige Alessandri a été condamnée par trois reprises pour ce meurtre qu'elle a tojours nié.

C'est la présence de deux mégots sur les lieux du crime qui semble être à l'origine de la décision de la commission de révision. L'ADN relevé sur ces mégots appartient à un jeune du quartier, connu des services de police pour des faits de cambriolage.

Lire les articles ci-dessous se rapportant aux circonstances du meurtre.

Voir le reportage de TF1 sur la décision de la commission de révision.

 

19 octobre 2012

709 - Dany Leprince est sorti de prison

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Dany Leprince, condamné à perpétuité pour un quadruple meurtre familial, est sorti vendredi matin de la maison d'arrêt d'Agen après avoir obtenu sa libération conditionnelle au terme de 17 années de détention.

Dany Leprince, 55 ans, a quitté la prison à bord d'une voiture blanche banalisée de l'administration pénitentiaire qui doit l'amener chez son épouse à Marmande (Lot-et-Garonne), où il va vivre, sans faire de déclarations aux journalistes, auxquels il n'est pas autorisé à parler. Le tribunal d'application des peines (Melun) lui a accordé, le 10 octobre, une libération conditionnelle, prévoyant le port d'un bracelet électronique durant un an. Jeudi soir il avait quitté la prison de Melun (Seine-et-Marne) pour celle d'Agen, où le dispositif devait être mis en place. 

Par cette libération conditionnelle sous contraintes (Bracelet électronique, interdiction de séjour dans la Sarthe, obligation de soin, interdiction de parler à la presse, paiement de dommages) Dany Leprince n'est-il pas passé définitivement du "probable innocent" au "parfait coupable" ?   Ecouter la réponse de Roland Agret d'action justice en cliquant sur le lien suivant:

http://www.dailymotion.com/video/xufif9_temoignage-agret-affaire-leprince_news

10 octobre 2012

709 - Dany Leprince en liberté conditionnelle à partir du 19 octobre 2012

Dany Leprince sera placé en liberté conditionnelle à partir du 19 octobre 2012 sous contraintes de plusieurs conditions: Port du bracelet, lieu de séjour et travail.

Actuellement détenu à Melun, il sera transféré à la maison d'arrêt d'Agen avant le 19 octobre pour la pose du bracelet qu'il gardera pendant un an.

Remarié en 2008, il devra résider chez son épouse à Marmande (Lot-et-Garonne) mais aussi travailler et indemniser les victimes. Il a interdiction de rencontrer sa nièce, seule survivante du drame, et ne pourra pas se rendre dans la Sarthe, la Mayenne et le Maine-et-Loire.

Par ailleurs, il n'a pas le droit de diffuser d'ouvrage et de donner des interviews sur les faits pendant sept ans.

"C'est une très bonne nouvelle", s'est réjoui son avocat Me Yves Baudelot mais "ce n'est certainement pas la fin de l'affaire". "Ce qui est essentiel pour Dany Leprince, c'est de faire reconnaître son innocence. Il faut que la justice reconnaisse s'être trompée", a-t-il ajouté.

"Il n'a pas du tout l'intention d'arrêter" de se battre pour obtenir la réouverture de son procès, a souligné Me Baudelot. "Il faut que le parquet général d'Angers revienne sur sa décision de ne pas rouvrir l'action publique", a-t-il dit.

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11 septembre 2012

709 - Dany Leprince bientôt en liberté conditionnelle ?

Condamné à perpétuité pour un quadruple meurtre familial qu'il nie, Dany Leprince devra encore attendre jusqu'au 10 octobre prochain pour connaître la décision du tribunal. Enfermé depuis 17 ans, il s'agit de sa première demande de libération  conditionnelle. Une procédure rendue possible depuis la décision de ce même TAP, en avril dernier, de lever la peine de sûreté de 22 ans qui accompagnait sa condamnation à perpétuité.

Le parquet de Melun s'est dit, mardi, favorable "sous certaines conditions" à la libération conditionnelle de Dany Leprince, condamné en 1997 à la perpétuité pour un quadruple meurtre familial qu'il a toujours nié. Réponse du tribunal attendue le 10 octobre.

Le procureur de la République de Melun a annoncé mardi que le parquet ne s'opposait pas à sa demande de libération conditionnelle, à condition notamment "que la résidence soit fixée chez son épouse" et que "ce soit avec un placement sous surveillance électronique", a précisé Bruno Dalles à l'issue de l'examen de la demande par le tribunal d'application des peines (TAP) de Melun. Le parquet a émis d'autres exigences, "une obligation d'exercer une activité professionnelle, une obligation de soins" et "une indemnisation plus importante de la partie civile".

"Le parquet, compte tenu du fait que la justice a été fortement critiquée dans le traitement de ce dossier, s'est attaché très scrupuleusement à ce que cette demande soit examinée avec la plus grande attention, la plus grande rigueur, et que l'intérêt de la victime partie civile soit respecté", a ajouté le procureur.

En 1997, Dany Leprince avait été jugé coupable des meurtres de son frère, de sa belle-soeur et de deux nièces de 7 et 10 ans, tués à coups de hachoir, et retrouvés dans la maison familiale de Thorigné-sur-Dué (Sarthe). Accusé par sa femme et sa fille dans des versions qui ont varié, il avait avoué en garde à vue le seul meurtre de son frère, avant de se rétracter et il a, depuis, toujours clamé son innocence.
  
Sorti de prison le 8 juillet 2010 par une décision préliminaire de la commission de révision qui réexaminait son dossier, le rejet de sa demande de révision l'avait renvoyé automatiquement en prison le 6 avril 2011. La Cour de révision avait considéré qu'il n'existait "aucun fait nouveau ou élément inconnu de la juridiction au jour du procès de nature à faire naître un doute sur la culpabilité de Dany Leprince". En septembre 2011, Nicolas Sarkozy lui avait refusé la grâce  présidentielle. "Il aurait bien mérité d'être rejugé", avait alors estimé la présidente de la Commission de révision. Enfin, en mars 2012, la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) avait jugé irrecevable le recours de Dany Leprince, qui contestait le refus par la justice française de réviser son procès.

28 mai 2012

713 - Sébastien Malinge crie son innocence !

MALINGECondamné  le 22 mars 2012 à 30 ans de prison pour avoir assassiné une retraitée de 66 ans sur le Parking des Italiens d'Avignon en novembre 2010, les avocats de Sébastien Malinge ont fait appel du jugement d'assises.

Pour la défense, l'instruction ne permet pas de répondre à des questions essentielles autour du crime atroce de Michèle Martinez: "qui, quand, comment, et pourquoi ?". Ce dossier "est vide" car après avoir balayé quelques pistes, "les enquêteurs se sont focalisés sur Sébastien Malinge après une concordance entre sa signature ADN et celui retrouvé sur la victime et sur l'arme du crime". "Mais si l'ADN parle, l'ADN ne dit rien", assure Me Guenoun pour qui les enquêteurs ont perdu l'esprit critique.

"Le sort de Sébastien Malinge a été scellé le 23 décembre 2010 car la probabilité liée à l'ADN est devenue vérité". Puis "sans vouloir porter atteinte au souvenir de la victime" Me Guenoun a lancé aux jurés que cette dame était "une libertine qui chassait sur internet sous le pseudo de "douce amer"..."Elle était libre de rencontrer qui elle voulait quand elle voulait mais les enquêteurs n'ont pas cherché dans cette direction", s'est indigné l'avocat qui a donné lecture de messages de "Douce amer"… En évitant "les plus gore !".

Marianne Di Nicola, la fille de Michèle Martinez a reconnu avoir été la maîtresse de Sébastien Malinge "durant deux mois en 2008". Elle a précisé qu'elle l'avait rencontré une fois chez lui et plusieurs fois chez elle.

Me Expert, l'autre avocat de l'accusé, a insisté sur le danger du tout ADN. "Il est démontré sur l'audience par la révélation de Sébastien Malinge, qu'il a vécu dans la maison de la fille de la victime. Un transfert secondaire de son ADN étant possible scientifiquement, alors le doute est permis".

Dans ce dossier atypique, "le doute est envahissant", a conclu l'avocat.

Le doute n'a pas lieu d'être pour l'accusation et la partie civile. "Certes, nous n'avons que l'ADN mais quel ADN", a déclaré l'avocate générale Dorlhac pour qui il n'y a pas de place au doute dans ce dossier au regard des supports pertinents : "L'ADN n'est pas trouvé sur un mégot de cigarette à côté de la victime mais sous ses ongles, sur les manches de son blouson et sur le tournevis planté dans sa tempe !".

Lire le blog de soutien des amis de Sébastien Malinge

20 avril 2012

709 - Dany Leprince en position de libérable

DLe tribunal d'application des peines de Melun (TAP) a fait droit à la demande de relèvement de la période de sûreté. Dany Leprince restera incarcéré à Melun, lui qui a déjà passé plus de 17 ans en détention. Il doit attendre l'examen de sa demande de libération conditionnelle prévu au mois de septembre.

« La suppression de la peine de sûreté dans son intégralité rend recevable sa demande de libération conditionnelle. Mais cela ne veut pas dire qu'elle lui sera nécessairement accordée », a tempéré son avocat, Me Baudelot qui ne veut pas se réjouir « tant que Dany Leprince n'est pas dehors et tant que son innocence n'est pas reconnue. Car son vrai combat reste la reconnaissance judiciaire de son innocence ».

« Ce qui est dit dans le jugement, c'est qu'il a un comportement exemplaire depuis plus de 16 ans en détention », qu'il a « toujours travaillé et que son travail a été apprécié ». Le TAP de Melun souligne que Dany Leprince a donné « des gages sérieux de réinsertion sociale » : pendant sa suspension de peine de huit mois, il a vécu avec son épouse (connue durant sa détention) et travaillé pour une association qui souhaite l'embaucher à sa sortie de prison. La justice lui sait gré, enfin, de ne pas jamais être tombé « dans le vedettariat et la victimisation ». •

Le journaliste du Monde Franck Johannès, auteur d'un livre très documenté sur l'affaire intitulé Le Couteau jaune , résume ainsi toutes les faiblesses de l'accusation dans son dernier article : « Le mobile du crime est incertain, l'horaire douteux et l'arme discutable les gendarmes n'ont pas pu produire une seule preuve matérielle contre lui, et il n'avait pas une goutte de sang sur lui après l'horrible massacre. » Le TAP de Melun ne s'est, bien sûr, pas prononcé sur sa culpabilité ou son innocence, n'étant pas compétent pour le faire.

En septembre 2011, Nicolas Sarkozy lui avait refusé la grâce présidentielle

5 avril 2012

2913 - 5 avril 2012 - Christian IACONO enfin libre !

l-ancien-maire-de-vence-dans-les-alpes-maritimes-christian-iaconoChristian Iacono, 77 ans, accusé de viol pendant onze ans par son petit-fils qui s'est ensuite finalement rétracté, est enfin libre. Il ne s'agit encore que d'une liberté conditionnelle arrachée à un parquet qui avait fait appel en février de la décision du juge des libertés de le libérer dès le 18 février.  Elle est assujettie à des obligations strictes: ne pas entrer en contact avec son petit-fils Gabriel Iacono, s'abstenir de communiquer avec les médias ou d'écrire des livres sur son histoire.

Il aura donc fallu six semaines de patience supplémentaire après la décision du juge des libertés du 16 février 2012 pour obtenir un peu de bon sens de la part de l'institution judiciaire. Si Christian IACONO innocenté par les rétractations de son petit fils avait bénéficié du doute de la part de "l'infaillible machine judiciaire", il n'aurait même pas été réincarcéré le 9 janvier 2012 !

On constate que Christian IACONO remplissait toutes les conditions requises (hébergement stable, absence de risque de récidive ou de trouble à l'ordre public) et les textes prévoient qu'il n'y a pas de délai minimum à purger quand un prisonnier a plus de 70 ans. Il semble donc que ce n'est pas le doute mais seulement l'âge et l'état de santé de Christian IACONO qui ont fait pencher la balance du bon côté dans la décision des magistrats.

On ne peut alors que regretter le fait que la Justice reste toujours aussi ancrée dans sa certitude d'infaillibilité malgré les précédents dans ce domaine (Loïc Sécher, Antonio Madeira, Outreau etc... )

Et, malgré la liberté retrouvée, le chemin de croix de Christian IACONO est loin d'être terminé !  "La liberté conditionnelle court jusqu'à la fin de sa peine", précise son avocat Dominique Romeo. C'est donc un bon point d'acquis mais Christian IACONO n'a, à ce jour, aucune assurance d'obtenir une révision de sa condamnation à neuf ans de prison. 

Dans l'attente d'une décision de révision, nous ne pouvons que souhaiter à Christian IACONO et à sa famille de bénéficier pleinement de ces moments de bonheur lorsque, après un si long chemin de galère, les griffes infernales relâchent enfin leur proie innocente.

27 mars 2012

2913 - Chritian IACONO libéré le 5 avril 2012

La justice a enfin décidé la remise en liberté de Christian Iacono à partir du 5 avril. La cour d'appel d'Aix-en-Provence devait se prononcer sur une demande de liberté conditionnelle déposée par l'ex-maire de Vence, dans les Alpes-Maritimes, condamné à neuf ans de prison pour le viol de son petit-fils qui a depuis retiré ses accusations.

La décision de la cour avait été mise en délibéré à l'issue d'une audience en visioconférence, le 13 mars, entre la cour d'appel et la maison d'arrêt de Grasse, où est détenu le septuagénaire. Selon l'un de ses avocats, durant cette audience, "le parquet avait continué à soutenir que la durée de la détention purgée n'était pas suffisante au regard du quantum de la condamnation" de l'ancien maire à neuf ans de réclusion criminelle.

Par une telle argumentation, le parquet démontre qu'il fait la sourde oreille aux rétractations de la prétendue victime et considère, une fois de plus après tant d'erreurs dans ce domaine, que la justice est infaillible.

Au delà des arguments du parquet, on peut se réjouir de la libération de Christian Iacono mais s'étonner que cette libération ne soit pas applicable immédiatement et cela d'autant plus  que la juge d'application des peines avait accordé sa libération depuis le 16 février 2012 !

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